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Les Travaux

REUNION PUBLIQUE
le MARDI 3 AVRIL 2007
au Centre Culturel Alain POHER d'ABLON sur SEINE
de 20h30 à 23 heures
avec la participation de
ROGER-GERARD SCHWARTZENBERG
et le 23 avril à VILLENEUVE LE ROI


Mardi 6 février
ghhefgh
DEBAT PARTICIPATIF
"sur le thème de
LA VIE CHERE"
à 20h30
à ABLON
(Centre CULTUREL Alain POHER
)

Zoom sur le Projet
Vous pouvez consulter le texte intégral du Projet socialiste pour la France au format HTML ou lire le tract sous forme de livre Flash en cliquant ici.
Vous pouvez aussi le trouver en librairie aux éditions Robert Laffont

Premier tour de l'élection Présidentielle : dimanche 22 avril 2007.
Second tour : 6 mai 2007
Les élections législatives auront lieu les 10 et 17 juin 2007.

Le VENDREDI 29 septembre 2006 SEGOLENE se déclare CANDIDATE.
Pour voir la Vidéo cliquez

En 2006 on s'inscrit, en 2007 on gagne !
Vous voulez battre la droite et faire gagner la gauche
Pour faire gagner la gauche en 2007, inscrivez-vous et faites inscrire vos amis sur les listes électorales...

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SEGOLENE ROYAL

a été investie le 16 novembre 2006

Candidate du Parti Socialiste

à la Présidence de la République.

 

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Autres Travaux

21 décembre 2006 4 21 /12 /décembre /2006 08:08

NOUVELOBS.COM | 21.12.2006 | 07:47

A Strasbourg, la candidate socialiste a ironisé sur ceux qui "découvrent qu'il y a une France qui souffre" alors que, "depuis cinq ans, c'est la brutalité, la rupture, la précarité".

 

Ségolène Royal en Alsace

 

Ségolène Royal en Alsace

(c) Reuters

 

Pour son premier meeting "participatif" près de Strasbourg, Ségolène Royal a plaidé mercredi 20 décembre au soir pour un Etat et une Europe qui protègent les salariés et les industries et a dénoncé les "licenciements inciviques".
Dans un coup de griffe à son rival de l'UMP Nicolas Sarkozy, la candidate socialiste a également ironisé sur ceux qui "découvrent aujourd'hui qu'il y a une France qui souffre" alors que, "depuis cinq ans, c'est la brutalité, la rupture, la précarité".
Quelque 1.500 personnes étaient venues écouter Ségolène Royal pour ce "forum participatif sur l'emploi", le premier du genre depuis son investiture à la candidature socialiste, au sein d'un complexe sportif à Illkirch-Graffenstaden, dans la banlieue sud de Strasbourg (Bas-Rhin).
 
"Redonner la parole aux gens"

Vêtue d'une robe noire et d'une veste blanche agrémentées d'un collier de perles noir et blanc, la candidate socialiste à l'élection présidentielle de 2007 a expliqué qu'avec ces débats participatifs, elle voulait, "malgré les moqueries, redonner la parole aux gens selon leurs compétences".
En présence de nombreux élus, tels Jean-Marc Ayrault et Henri Emmanuelli, qui ont pris eux aussi la parole, plusieurs Alsaciens triés sur le volet sont ainsi venus dire au micro leurs préoccupations au sujet de l'emploi, du chômage, de la recherche, de la précarité des femmes, etc.
Lors de ce meeting, Ségolène Royal s'est posée en défenseure d'un Etat qui protège les salariés. "L'Etat, non seulement, peut servir à quelque chose, mais doit servir à quelque chose. Et la puissance publique doit assumer ses responsabilités. Dans la France d'aujourd'hui, on n'accepte plus des licenciements inciviques qui ne correspondent même pas à la réalité économique", a-t-elle dénoncé.
 
"Nouvelle donne" avec les entreprises

Et de marteler: "Ce chantage est insupportable. Il n'y a aucune fatalité, je refuse ce renoncement. Avec vous, je veux construire la France qui se bat et la France qui se relève!"
Comme Henri Emmanuelli, Ségolène Royal a souhaité une Europe qui puisse, elle aussi, protéger les salariés et les industries. "L'Europe devra cesser d'être naïve et devra utiliser tous les moyens pour protéger nos salariés et nos industries", a-t-elle lancé.
Dans un discours de trois quarts d'heure à forte coloration sociale, la présidente de la région Poitou-Charentes a également insisté sur la nécessité d'une "nouvelle donne" avec les entreprises. "Elles devront pérenniser les emplois si elles obtiennent des aides publiques, sinon elle devront rembourser. Les impôts seront modulés selon que les bénéfices sont réinvestis ou distribués", a-t-elle promis.
Tout en affirmant qu'elle ne voulait plus de "travailleurs jetables", elle a promis que "le capital sera définitivement plus taxé que le travail". Et de conclure: "Au patriotisme économique, j'oppose le volontarisme économique. Je réhabiliterai la valeur travail". (AP)
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